L'art de vivre : Avoir une bonne Philo-Sophie ...

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idée de sortie : Devenez agent secret en équipe Découvrez "KOEZIO "

Koezio : Jeux d'aventure en équipe

 

Ce concept "Made in France" unique au monde de parc de loisirs indoor

est construit autour d’une valeur forte : la cohésion d’équipe.

 

Destiné à tous, sportifs ou non (à partir d’1m40), Koezio est adapté aux familles, groupes d’ami(e)s, centres de loisirs, groupes scolaires et entreprises.

Créant une réelle cohésion d’équipe basée sur la complémentarité des Agents, la mission fédère toutes les générations dans le but de partager ensemble un moment unique

 

Vous pouvez aussi choisir de personnaliser vos Missions, adapter vos thèmes, indices et énigmes dans le jeu pour tous vos événements spéciaux (Anniversaire Adulte, Anniversaire Enfant ou Ado, Enterrement de vie de jeune fille, Enterrement de vie de garçon, Séminaires, Team building…).

 

Koezio vous propose également de profiter d’un bar panoramique et d’un espace restauration de qualité afin de poursuivre l’expérience dans une ambiance déconnectée du quotidien

Tarif : dès 13 € (-16 ans) et dès 20 € (adultes). Durée : environ 2 heures.

2 sites en IDF dans le  77+95

KOEZIO Carré Sénart: Parc d'attractions 7 allée du Trait d’Union, Lieusaint 77127 Tél. 01.64.13.13.00.

 

Site:  http://www.koezio.co


28/11/2016
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Semaine sur l’Endométriose: une maladie gynécologique qui touche une femme sur dix

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Du 3 au 9 mars se tient la 12e Semaine européenne de prévention et d’information sur l’endométriose, maladie gynécologique fréquente mais mal connue. Cette pathologie est caractérisée par la présence de tissus semblables à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus, et peut toucher différents organes.

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  • Une maladie fréquente

L’endométriose touche environ 10 % des femmes en âge de procréer, selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Ce chiffre est en régulière augmentation.

  • Un diagnostic tardif

Faute de symptômes spécifiques et d’efforts de recherche suffisants, le diagnostic est posé en moyenne au bout de sept ans, selon l’observatoire OZ2020 créé par Endodiag, une société travaillant sur le développement de nouveaux outils de diagnostic, rejoint par plusieurs associations de lutte contre l’endométriose.

Par ailleurs, l’endométriose pouvant être asymptomatique, elle est, dans ce cas, généralement découverte de façon fortuite lorsqu’une femme consulte pour une difficulté à concevoir un enfant, explique l’Inserm.

  • Des conséquences sur la fertilité

De 30 % à 40 % des femmes atteintes d’endométriose connaissent des problèmes de fertilité, selon EndoFrance. Si « une proportion importante des patientes endométriotiques est effectivement infertile, l’explication scientifique de ce lien n’est pas entièrement élucidée », note pour sa part l’Inserm.

  • Une maladie douloureuse

La douleur gynécologique est le symptôme le plus courant de la maladie : 40 % des femmes qui souffrent de douleurs chroniques pelviennes, en particulier au moment des règles, sont atteintes d’endométriose, constate l’Inserm. La douleur peut également se manifester lors des rapports sexuels, au moment de la défécation ou de la miction.

  • Un coût de prise en charge élevé

En France, la prise en charge de l’endométriose coûterait au total 9,5 milliards d’euros par an, si l’on prend en compte les coûts médicaux et la perte de productivité induite, estime dans une étude la Fondation mondiale de recherche sur l’endométriose.

  • Un handicap au quotidien

Selon l’observatoire OZ2020, 70 % des patientes déclarent ressentir des douleurs invalidantes, 30 % que leurs activités habituelles sont perturbées par la maladie et 20 % que leur mobilité est affectée.

 

Le traitement est strictement individuel

 

De même que l’endométriose se manifeste diversement d’une femme à l’autre, de même les possibilités de traitement sont très variées, par exemple emploi de médicaments pour lutter contre les symptômes, essentiellement les douleurs, ablation chirurgicale des foyers d’endométriose ou traitement hormonal ciblé.

C’est avant tout l’objectif thérapeutique poursuivi dans le cas considéré qui conditionne le choix entre les diverses formes de traitement. S’agit-il de traiter une infertilité ou souhaite-t-on surtout lutter contre les douleurs? S’agit-il d’éliminer la maladie le plus radicalement possible et de diminuer le risque de récidive? Ces questions sont discutées lors de l’entretien avec la patiente.

Pour chaque femme atteinte, il existe une solution individuelle au problème. Il faut adapter cas par cas la forme de traitement et l’association éventuelle de divers traitements, selon la situation de la patiente. Il est important que l’entretien avec le médecin soit complet et apporte tous les éclaircissements nécessaires, de façon à pouvoir choisir un traitement spécifique, sur mesures.

Objectif: Disparition des symptômes ou troubles

A cet effet, on utilise essentiellement des antalgiques, appelés «anti-inflammatoires non stéroïdiens», ou la pilule contraceptive. Cependant, ces traitements ne permettent pas d’obtenir une véritable guérison

 

L’opération:

Il est parfois possible d’effectuer le traitement chirurgical dès l’examen à visée diagnostique. Pendant la laparoscopie, le chirurgien élimine les foyers visibles d’endométriose le plus soigneusement et le plus complètement possible, sans léser les tissus sains et les organes voisins, intacts. La laparoscopie est une méthode microchirurgicale précise et délicate, avec laquelle on utilise souvent des techniques spéciales telles que par exemple le laser. Cette technique microchirurgicale, précise et minutieuse, qui fait souvent appel au laser, ne peut être mise en œuvre que par un gynécologue adroit et bien formé.

Dans de rares cas, si les symptômes sont sévères, si le couple ne souhaite plus d’enfants et si toutes les autres possibilités ont été épuisées, il faut envisager l’ablation chirurgicale de l’utérus, des trompes et des ovaires

L'hormonotherapie:

 

Etant donné que les foyers d’endométriose sont stimulés par les hormones sexuelles féminines (estrogènes et progestatifs), les traitements médicamenteux visent à réguler ou inhiber l’effet hormonal. Ce résultat peut être obtenu par exemple par la prise d’hormones du corps jaune (progestatifs)ou d’une pilule contraceptive.

Si un blocage complet de la fonction ovarienne est nécessaire, on inhibe la synthèse d’estrogènes en traitant par des «analogues de la LH-RH». Ce traitement assèche les foyers d’endométriose. On peut ainsi soulager les douleurs et éviter la formation de nouveaux foyers d’endométriose.

L’usage de médicaments pour inhiber la formation des hormones engendre temporairement un état comparable à la ménopause, avec les troubles associés à cet état. Cependant, l’intensité des bouffées de chaleur, de la diminution de la masse osseuse, des fluctuations de l’humeur, etc. est très variable. Si un traitement prolongé est nécessaire, on peut soulager les symptômes associés en prescrivant un traitement hormonal spécial, à faible dose d’estrogènes.

 

Médecine "douce":

Les traitements fondés sur la médecine académique peuvent être complétés par des méthodes de médecine alternative. Toutes les méthodes qui stimulent les forces d’autoguérison peuvent être utiles. Les méthodes disponibles sont très variées. Il n’est pas toujours facile de choisir, parmi les nombreuses méthodes, celle qui est adaptée dans le cas considéré (homéopathie, médecine chinoise traditionnelle, biorésonance, traitement des zones réflexes, acupression ou acuponcture, aromathérapie, bains, etc.).

 

Liens

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Sources:

Google images

http://mobile.lemonde.fr/medecine/article/2016/03/07/l-endometriose-en-chiffres_4877924_1650718.html?xtref=acc_dir


07/03/2016
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Endométriose :Relativement fréquente, l'endométriose n'en reste pas moins très mystérieuse.

Endométriose :

L’endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente puisqu’elle concerne une femme sur dix.

Elle est liée à la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus.

Différents organes peuvent être touchés.

 

Mais dans certains cas, elle provoque des douleurs fortes (notamment au moment des règles) et/ou une infertilité.

L'endométriose figure parmi les troubles gynécologiques les plus fréquents, en effet 5 à 10% des femmes en âge de procréer en sont atteintes et la maladie est présente chez quelque 40% des femmes souffrant de douleurs pelviennes, notamment au moment des règles. Cette pathologie détient son nom de l'endomètre, la muqueuse qui tapisse l'intérieur de l'utérus.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/endometriose/endometriose-symptomes-traitement-definition-causes-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art35029.html
Copyright © Gentside Découverte
L'endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente qui peut être une vraie épreuve au quotidien pour les femmes qui en souffrent.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/endometriose/endometriose-symptomes-traitement-definition-causes-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art35029.html
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'endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente qui peut être une vraie épreuve au quotidien pour les femmes qui en souffrent.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/endometriose/endometriose-symptomes-traitement-definition-causes-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art35029.html
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'endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente qui peut être une vraie épreuve au quotidien pour les femmes qui en souffrent.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/endometriose/endometriose-symptomes-traitement-definition-causes-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art35029.html
Copyright © Gentside Découverte

Suspicion:

Le symptôme le plus courant de l’endométriose (retrouvé chez 50 à 91% des femmes selon les études) est la douleur, règles douloureuses (dysménorrhée), douleurs pendant les rapports sexuels (dyspareunie), douleurs pelviennes fréquentes, défécation douloureuse, difficulté pour uriner (dysurie), douleurs lombaires, abdominales (ombilicales …), douleurs pelviennes ou lombaires pouvant irradier jusque dans la jambe (cruralgie)...

 

Si vous souffrez de l'un des symptômes , parlez-en à votre médecin.

Examens:

Certains examens pourront préciser son diagnostic :

  • Une échographie pelvienne ou endovaginale permettra de localiser des kystes d'endométrioses hors de l'utérus ;
  • Une hystérosalpingographie (radiographie de l'utérus et des trompes après injection d'un produit de contraste) permet éventuellement de rechercher des signes indirects de l'adénomyose (forme d'endométriose où les cellules endométriales ont migré à l'intérieur du muscle utérin lui même) ou permet d'évaluer les problèmes de perméabilité des trompes de l'utérus (qui peuvent être obstruées) ;
  • Tout examen radiologique dans des localisations où l'on suspecte des lésions, comme dans les voies urinaires ( urographie) ;
  • L'imagerie par résonance magnétique (IRM) se révèle très fiable et même plus précis que l'échographie.
  • Seule une laparoscopie ou coelioscopie diagnostique (avec prélèvement et analyse d'éventuelles lésions) permettra de déterminer avec certitude s'il s'agit d'une endométriose

Endométriose

 

Il s’agit bien souvent d’une douleur invalidante entraînant une incapacité totale ou partielle pendant quelques jours, voire, pour les cas les plus sévères, permanente, et nécessitant le recours à des antalgiques puissants et même morphiniques.

 

Les  patientes souffrant de douleurs pelviennes handicapantes depuis leurs premières règles sont diagnostiquées au bout de six années en moyenne.

 

Liée au cycle, elle se manifeste souvent de manière plus aiguë au moment de l’ovulation ou des règles.

 

Pour certaines, ce sera l’incapacité de mener une vie normale, professionnelle, familiale et intime, que ce soit pour quelques jours ou durablement.

 

Pour d’autres, ce sera l’incapacité de faire un effort physique, que ce soit soulever son sac de courses ou tout simplement tenir debout.

 

Pour d’autres encore, ce sera une douleur telle qu’elle provoquera des pertes de connaissance et des vomissements.

Pour celles-ci, il sera impossible de rester longtemps dans une même position et en changer sera tout aussi douloureux que la conserver. Pour celles-là, il faudra recourir à des médicaments anti-douleur, comme les morphiniques, qui leur apporteront un répit, dès lors qu’elles n’y seront pas accoutumées, en échange d’effets secondaires redoutables.

 

Causes: ? 

Plusieurs études pointent en outre du doigt l’existence de facteurs de risque environnementaux. Les chercheurs s’interrogent par exemple sur le rôle éventuel des perturbateurs endocriniens ou celui de l’influence des acides gras polyinsaturés et d’autres composants alimentaires pouvant entrainer des anomalies épigénétiques. Une étude récente réalisée chez la souris montre par exemple que l’exposition prénatale des souris au Bisphénol A pourrait favoriser une pathologie ressemblant à l’endométriose chez les souris femelles.

 

 

Pour toutes, la pire des prisons, celle où l’esprit n’est plus que douleur dans un corps douloureux.

Celle où on espère et redoute l’instant qui vient.

Où on est prête à tout essayer, du remède miracle au gourou, pour échapper à la douleur

 

 

 

 

sources: GOOGLE

autre article: cf rubrique bien être NUTRI ENDO 1 /2


20/02/2016
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